Romain Muhika ce resistant congolais et repenti de l'ANR ne manque pas de discours et d’occasions pour dénoncer les crimes et vi
Lorsque Romain
Muhika accepte de participer à la conférence radiotélévisée ou à des
manifestations contre le regime sanguinnaire de Joseph Kabila etable en
RDC dépuis Janvier 2001,où les élements de services
renseignement élaborent leur stratégie sécuritaire et politique
d'elimination des opposants, ce resistant et membre de APARECO n’hésite
pas à racontrer, témoigner et denoncer les attaques criminelles contre
le peuple, lorsque les appareils sécuritaires du gouvernement congolais
font des manœuvres et rencontrent les militaires rwandais, sous la
direction du général Jhon Numbi, lorsque ces mêmes appareils font la
chasse et emprisonnent les résistants, lorsque Mahmoud Abbas n’hésite
pas à dénoncer la résistance militaire et à s’excuser chaque fois que
des résistants parviennent à mener une opération en Cisjordanie même,des
journalistes congolais subissent des represailles de la par des
élements de la police dans le but de les faire taire, c’est toute une
culture politique qui est parvenue à s’infiltrer dans un secteur de la
société congolaise.
En
RDC, le fait de faire de la résistance est un obstacle au regime de
Joseph Kabila, le fait de critiquer ou même de contredire le pouvoirou
sont devenus des crimes dans la sécurité du pays, le fait de considérer
les soldats rwandais ou ougandais comme des ennemis qui massacré des
millions des congolais, au même niveau ou même pires, que ce pouvoir
d'occupation en RDC. Sous la houlette de la communauté internationale,
conçue d’ailleurs spécialement pour imposer aux congolais un
president assassin du peuple, tout cela fait partie de l’environnement
politique sur lequel comptent les collaborateurs du systeme pour
poursuivre leurs crimes.
Dans cet environnement politique, Joseph Kabila est le responsable de la mort de centaines, voire de milliers de citoyens.
La
destruction du pays et les assassinats des opposants et des
journalistes, deviennent un simple point de vue, discutable certes, mais
non un crime suprême.
Romain
Muhika ce resistant congolais et repenti de l'ANR ne manque pas de
discours et d’occasions pour dénoncer les crimes et violations des
droits de l'hommes commis par Joseph Kabila.